Last call les murènes, c’est sublimer le dam ressenti d’une région, la Beauce ici, et se réconcilier avec la personne qu’on est devenue, empêtrée à aimer et à détester tout à la fois, toujours le cul entre deux sièges de char.
Nbre de pages : 69.
Illustration de la couverture :
Guillaume Adjutor Provost